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STORY BY Émile Zola

Das Paradies der Damen

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Das Paradies der Damen von Emile Zola Das Paradies der Damen (im Original: Au Bonheur des Dames) vom französischen Autor Émile Zola erschien 1884 als elfter Roman des zwanzigbändigen Romanzyklus Die Rougon-Macquart – Natur- und Sozialgeschichte einer Familie unter dem zweiten Kaiserreich.Zola begann am 28. Mai 1882 mit der Niederschrift und beendete sie am 25. Januar 1883. "Kurz danach erschien das Buch bei Charpentier in 60.000 Exemplaren nach dem üblichen, diesmal nicht sehr erfolgreichen Feuilletonvorabdruck im Gil Blas, der vom 17. Dezember 1882 bis zum 1. März 1883 erfolgte."Anhand der Geschichte der Protagonistin Denise, einer Verkäuferin, die aus der Provinz nach Paris kommt und im Paradies der Damen eine Anstellung findet, wird das Wachstum und die Struktur dieses Kaufhauses und gleichzeitig der Niedergang des kleingewerblichen Einzelhandels eines kompletten Pariser Stadtviertels beschrieben. Die im Roman auftauchenden Figuren sind aktiv oder passiv mit dem expandierenden Kaufhaus verbunden – als Mitarbeiter, Käufer oder anliegender Einzelhändler.

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Der Bauch von Paris

Der Bauch von Paris

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Der Bauch von Paris (franz: Le Ventre de Paris) ist ein 1873 erschienener Roman von Émile Zola und der 3. Teil des zwanzigbändigen Rougon-Macquart-Zyklus. Die Handlung vollzieht sich größtenteils auf dem zentralen Markt Les Halles von Paris. Die während des zweiten Kaiserreiches errichteten Markthallen mit ihrer Glas-Stahl-Konstruktion werden als Meilensteine des Fortschritts dargestellt. Zola beschreibt das Milieu des Einzelhandels und setzt sich erstmals mit der Lebenswirklichkeit der arbeitenden Klasse auseinander.Die Handlung setzt mit seiner Rückkehr nach Paris ein. Er findet Unterkunft bei seinem Bruder Quenu und dessen Frau Lisa, die gemeinsam einen Fleischerladen betreiben. Besonders auf Wunsch von Lisa nimmt er einen Posten als Inspektor in den Fischhallen an. Florent entwickelt sich zum Anführer eines Kreises, der dilettantisch einen Aufstand plant, der zur Wiederherstellung der Republik führen soll. Florent unterrichtet den Sohn einer Fischhändlerin, der schönen Normande, im Lesen und Schreiben. Sie strebt eine Liaison mit ihm an, doch Florent geht nicht darauf ein. Zwischen der schönen Normande und Lisa Quenu entsteht eine Feindschaft. Florent gerät dabei zwischen die Fronten. Schließlich werden er und sein Mitverschwörer Gavard verhaftet.

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L’Assommoir

L’Assommoir

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Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d’être restée en camisole à l’air vif de la fenêtre, elle s’était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau-à-Deux-Têtes, où ils mangeaient, il l’envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu’il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu’elle guettait son retour, elle croyait l’avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d’une nappe d’incendie la coulée noire des boulevards extérieurs ; et, derrière lui, elle avait aperçu la petite Adèle, une brunisseuse qui dînait à leur restaurant, marchant à cinq ou six pas, les mains ballantes, comme si elle venait de lui quitter le bras pour ne pas passer ensemble sous la clarté crue des globes de la porte.

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Le Ventre de Paris

Le Ventre de Paris

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Le Ventre de Paris est un roman écrit par Émile Zola et publié en 1873, troisième roman de la série des Rougon-Macquart. L’action se passe essentiellement aux Halles centrales de Paris, construites par Victor Baltard entre 1854 et 1870. Zola en fait dans son roman une sorte de monstre, comme le seront plus tard le grand magasin dans Au Bonheur des Dames, l’alambic dans l"Assommoir ou la locomotive dans la Bête humaine. Les membres de la famille des Rougon-Macquart ne jouent pas un rôle essentiel dans le roman : Lisa Macquart, la sœur de Gervaise (voir l"Assommoir), mariée à un nommé Quenu, y est charcutière ; on voit aussi apparaître sa fille, Pauline Quenu, qui sera l’héroïne de La Joie de vivre, et surtout Claude Lantier, son neveu, jeune peintre, futur héros du roman L"Œuvre.Émile Zola est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris et mort le 29 septembre 1902 dans la même ville. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c"est l"un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés dans le monde entier. Il a durablement marqué de son empreinte le monde littéraire français. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision.

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La fortune des Rougon

La fortune des Rougon

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Lorsqu’on sort de Plassans par la porte de Rome, située au sud de la ville, on trouve, à droite de la route de Nice, après avoir dépassé les premières maisons du faubourg, un terrain vague désigné dans le pays sous le nom d’aire Saint-Mittre.L’aire Saint-Mittre est un carré long, d’une certaine étendue, qui s’allonge au ras du trottoir de la route, dont une simple bande d’herbe usée la sépare. D’un côté, à droite, une ruelle, qui va se terminer en cul-de-sac, la borde d’une rangée de masures ; à gauche et au fond, elle est close par deux pans de muraille rongés de mousse, au-dessus desquels on aperçoit les branches hautes des mûriers du Jas-Meiffren, grande propriété qui a son entrée plus bas dans le faubourg. Ainsi fermée de trois côtés, l’aire est comme une place qui ne conduit nulle part et que les promeneurs seuls traversent.

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Au Bonheur des dames

Au Bonheur des dames

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Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l’avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise.– Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean !Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres, tout en noir, achevant les vieux vêtements du deuil de leur père. Elle, chétive pour ses vingt ans, l’air pauvre, portait un léger paquet ; tandis que, de l’autre côté, le petit frère, âgé de cinq ans, se pendait à son bras, et que, derrière son épaule, le grand frère, dont les seize ans superbes florissaient, était debout, les mains ballantes.

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Le ventre de Paris

Le ventre de Paris

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Au milieu du grand silence, et dans le désert de l’avenue, les voitures de maraîchers montaient vers Paris, avec les cahots rythmés de leurs roues, dont les échos battaient les façades des maisons, endormies aux deux bords, derrière les lignes confuses des ormes. Un tombereau de choux et un tombereau de pois, au pont de Neuilly, s’étaient joints aux huit voitures de navets et de carottes qui descendaient de Nanterre ; et les chevaux allaient tout seuls, la tête basse, de leur allure continue et paresseuse, que la montée ralentissait encore. En haut, sur la charge des légumes, allongés à plat ventre, couverts de leur limousine à petites raies noires et grises, les charretiers sommeillaient, les guides aux poignets. Un bec de gaz, au sortir d’une nappe d’ombre, éclairait les clous d’un soulier, la manche bleue d’une blouse, le bout d’une casquette, entrevus dans cette floraison énorme des bouquets rouges des carottes, des bouquets blancs des navets, des verdures débordantes des pois et des choux. Et, sur la route, sur les routes voisines, en avant et en arrière, des ronflements lointains de charrois annonçaient des convois pareils, tout un arrivage traversant les ténèbres et le gros sommeil de deux heures du matin, berçant la ville noire du bruit de cette nourriture qui passait.

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La faute de l’abbé Mouret

La faute de l’abbé Mouret

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La Teuse, en entrant, posa son balai et son plumeau contre l’autel. Elle s’était attardée à mettre en train la lessive du semestre. Elle traversa l’église, pour sonner l’Angélus, boitant davantage dans sa hâte, bousculant les bancs. La corde, près du confessionnal, tombait du plafond, nue, râpée, terminée par un gros nœud, que les mains avaient graissé ; et elle s’y pendit de toute sa masse, à coups réguliers, puis s’y abandonna, roulant dans ses jupes, le bonnet de travers, le sang crevant sa face large.

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Pot-Bouille

Pot-Bouille

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Rue Neuve-Saint-Augustin, un embarras de voitures arrêta le fiacre chargé de trois malles, qui amenait Octave de la gare de Lyon. Le jeune homme baissa la glace d’une portière, malgré le froid déjà vif de cette sombre après-midi de novembre. Il restait surpris de la brusque tombée du jour, dans ce quartier aux rues étranglées, toutes grouillantes de foule. Les jurons des cochers tapant sur les chevaux qui s’ébrouaient, les coudoiements sans fin des trottoirs, la file pressée des boutiques débordantes de commis et de clients, l’étourdissaient ; car, s’il avait rêvé Paris plus propre, il ne l’espérait pas d’un commerce aussi âpre, il le sentait publiquement ouvert aux appétits des gaillards solides.

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La conquête de Plassans

La conquête de Plassans

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Désirée battit des mains. C’était une enfant de quatorze ans, forte pour son âge, et qui avait un rire de petite fille de cinq ans.« Maman, maman ! cria-t-elle, vois ma poupée ! »Elle avait pris à sa mère un chiffon, dont elle travaillait depuis un quart d’heure à faire une poupée, en le roulant et en l’étranglant par un bout, à l’aide d’un brin de fil. Marthe leva les yeux du bas qu’elle raccommodait avec des délicatesses de broderie. Elle sourit à Désirée.« C’est un poupon, ça ! dit-elle. Tiens, fais une poupée. Tu sais, il faut qu’elle ait une jupe, comme une dame. »Elle lui donna une rognure d’indienne qu’elle trouva dans sa table à ouvrage ; puis elle se remit à son bas, soigneusement. Elles étaient toutes deux assises, à un bout de l’étroite terrasse, la fille sur un tabouret, aux pieds de la mère. Le soleil couchant, un soleil de septembre, chaud encore, les baignait d’une lumière tranquille ; tandis que, devant elles, le jardin, déjà dans une ombre grise, s’endormait. Pas un bruit, au-dehors, ne montait de ce coin désert de la ville.

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